Le premier séminaire de deux jours se focalisera sur « Le Vivant & les Microzymas »
Dans la première journée, nous aborderons le langage, la philologie, afin de déterminer des éléments fondamentaux de notre représentation du vivant.
Nous détaillerons l’organisation actuelle des sciences et de leur application à l’étude de la vie. Nous aborderons l’ontologie et l’origine fondamentale valide d’une articulation cohérente de la pensée.
Nous conclurons ce premier examen épistémologique par une compréhension de la nécessité d’une autre représentation et de l’utilisation d’une logique ternaire.
Nous dévoilerons ensuite les dimensions du vivant, les étonnants rapports d’échelle qui s’opèrent et entamerons progressivement une précision des termes associés au monde du « tout petit ».
Nous vous proposerons des aperçus inédits sur la source fondamentale du vivant, en prenant un escalier progressif à partir de la nature électromagnétique de la vie, nous vous donnerons à voir le génial Walter Russell, et nous entr’apercevrons Louis Boutard & l’Æther.
Nous nous rendrons compte de la difficulté scientifique de normer la vie, et de la définir. Cette démarche, devenue absolument nécessaire pour des raisons que nous expliciterons, se révèle une véritable gageure.
Nous analyserons finement le paradigme génétique en vigueur actuellement et vous donnerons à voir l’Arbre du Vivant.
Après avoir mentionné le Dr GALONIER-GRATZINSKY et ses extraordinaires travaux, nous rentrerons dans le monde fascinant des zôaires avec une première mention d’un être particulier, le macrozôaire hérakléen, l’Héraklès grec, aussi devenu l’Hercule romain, avec une nouvelle incursion photographique dans l’immense œuvre de Louis BOUTARD.
Du LUCA (Last Universal Common Ancestror) au Microzyma redécouvert ou réinventé sous de multiples noms, nous retrouverons l’héritage récent de toutes les recherches depuis Antoine BÉCHAMP, qui ne font que confirmer ses travaux, du japonais MORITA en passant par Robert FOLK, etc.
Une première journée conséquente de transmission — soigneusement calibrée pour laisser le temps de l’échange et du dialogue afin de faciliter la compréhension.
La deuxième journée se place dans la droite continuité de cette lancée.
Nous déploierons notre réflexion au cœur des nanones.
Nous en profiterons pour détailler les expériences que nous avons menées à Chazeaux en 2015 et qui valident pleinement un nouveau regard sur le fonctionnement cellulaire (entre autres)… généreuse recherche lancée et complétée par Antoine BÉCHAMP au milieu du XIXe siècle.
Après avoir rappelé les différents mécanismes de formation cellulaire, et démontré l’existence de chaque modalité par des vidéos sans appel, nous conclurons sur les conséquences de trois possibilités concurrentes de formation des cellules qui s’offrent à nous à chaque instant.
Nous ouvrirons la piste des transmutations sur la base des recherches initiées par Cédric MANNU en 1998 et poursuivies avec succès dans un grand laboratoire italien par des chercheurs amis, perspicaces et pugnaces.
Nous détaillerons l’importance du Deutérium dans la mécanique globale cellulaire, avec des découvertes irréfutables autour de certains cancers.
Nous ouvrirons la voie d’une actualisation photographique de la Genèse Microzymienne avec des photographies d’un corps merveilleux, source de la Vie.
Nous plongerons dans l’étude des Microzymas géologiques, et grâce à la décomposition d’un chat (mort de sa belle mort), nous ouvrirons la porte de la possible résurrection du vivant.
Nous conclurons sur la relation entre Homme et Humus, avec un aperçu des racines grecques de notre langue, à l’origine de notre vocabulaire courant, source de notre représentation.
Quel premier moment de deux jours, incroyable, conséquent, qui vous permettra de toucher du doigt le Vivant et sa formidable origine !
Dans la première journée, nous aborderons le langage, la philologie, afin de déterminer des éléments fondamentaux de notre représentation du vivant.
Nous détaillerons l’organisation actuelle des sciences et de leur application à l’étude de la vie. Nous aborderons l’ontologie et l’origine fondamentale valide d’une articulation cohérente de la pensée.
Nous conclurons ce premier examen épistémologique par une compréhension de la nécessité d’une autre représentation et de l’utilisation d’une logique ternaire.
Nous dévoilerons ensuite les dimensions du vivant, les étonnants rapports d’échelle qui s’opèrent et entamerons progressivement une précision des termes associés au monde du « tout petit ».
Nous vous proposerons des aperçus inédits sur la source fondamentale du vivant, en prenant un escalier progressif à partir de la nature électromagnétique de la vie, nous vous donnerons à voir le génial Walter Russell, et nous entr’apercevrons Louis Boutard & l’Æther.
Nous nous rendrons compte de la difficulté scientifique de normer la vie, et de la définir. Cette démarche, devenue absolument nécessaire pour des raisons que nous expliciterons, se révèle une véritable gageure.
Nous analyserons finement le paradigme génétique en vigueur actuellement et vous donnerons à voir l’Arbre du Vivant.
Après avoir mentionné le Dr GALONIER-GRATZINSKY et ses extraordinaires travaux, nous rentrerons dans le monde fascinant des zôaires avec une première mention d’un être particulier, le macrozôaire hérakléen, l’Héraklès grec, aussi devenu l’Hercule romain, avec une nouvelle incursion photographique dans l’immense œuvre de Louis BOUTARD.
Du LUCA (Last Universal Common Ancestror) au Microzyma redécouvert ou réinventé sous de multiples noms, nous retrouverons l’héritage récent de toutes les recherches depuis Antoine BÉCHAMP, qui ne font que confirmer ses travaux, du japonais MORITA en passant par Robert FOLK, etc.
Une première journée conséquente de transmission — soigneusement calibrée pour laisser le temps de l’échange et du dialogue afin de faciliter la compréhension.
La deuxième journée se place dans la droite continuité de cette lancée.
Nous déploierons notre réflexion au cœur des nanones.
Nous en profiterons pour détailler les expériences que nous avons menées à Chazeaux en 2015 et qui valident pleinement un nouveau regard sur le fonctionnement cellulaire (entre autres)… généreuse recherche lancée et complétée par Antoine BÉCHAMP au milieu du XIXe siècle.
Après avoir rappelé les différents mécanismes de formation cellulaire, et démontré l’existence de chaque modalité par des vidéos sans appel, nous conclurons sur les conséquences de trois possibilités concurrentes de formation des cellules qui s’offrent à nous à chaque instant.
Nous ouvrirons la piste des transmutations sur la base des recherches initiées par Cédric MANNU en 1998 et poursuivies avec succès dans un grand laboratoire italien par des chercheurs amis, perspicaces et pugnaces.
Nous détaillerons l’importance du Deutérium dans la mécanique globale cellulaire, avec des découvertes irréfutables autour de certains cancers.
Nous ouvrirons la voie d’une actualisation photographique de la Genèse Microzymienne avec des photographies d’un corps merveilleux, source de la Vie.
Nous plongerons dans l’étude des Microzymas géologiques, et grâce à la décomposition d’un chat (mort de sa belle mort), nous ouvrirons la porte de la possible résurrection du vivant.
Nous conclurons sur la relation entre Homme et Humus, avec un aperçu des racines grecques de notre langue, à l’origine de notre vocabulaire courant, source de notre représentation.
Quel premier moment de deux jours, incroyable, conséquent, qui vous permettra de toucher du doigt le Vivant et sa formidable origine !
Cycle de deux conférences et d’un atelier sur l’œuvre de Louis Boutard.
L’assistance à une au moins des deux conférences est nécessaire pour participer à l’atelier du dimanche 9 octobre.
Conférence « L'ÆTHER & LOUIS BOUTARD »
Avec Cédric et Marie-Ange MANNU
Media Éternité Sacré
Vendredi 7 octobre 2022, 19h30 à 21h30
Lieu : Salle de la Librairie Cadence
2 rue des Antonins
69005 LYON
Participation : 10€
Réservation recommandée auprès de la Librairie CADENCE
62 rue Saint Jean
69005 LYON
(04) 78 42 48 21
librairie.cadence@gmail.com
Le Corbeau de Lug, ce corvinus au pied marin, disons-le net, notre Cormoran breton, se déploie avec ses compagnons, aigrettes, héron et ibis dans le Delta du Nil. Ce fameux héron, phénix de ces cieux, est le premier emblème alchimique de la pierre philosophale dans le monde berbère. Harpocratiquement hiérophante, lui aussi est de souche grecque, naturalisé égyptien. Tel la Sphinx, il pose la même énigme de l’Origine à l’Homme. En duel ? En miroir, assurément, comme un geste au poil. Le divin Mercure, notre Hermès grec et égyptien, est bien ce fin camion d’Æther, dont nous sommes si pleinement revêtus. Et Fulcanelli ne manque pas de nous indiquer la beauté spécifique des femmes épilées de près, au miel, et aux yeux de Kohl… Comme un autre hommage au chat, dont le mystère demeure et que seule une compréhension attentive de cet Æther mystérieux peut, avec Louis Boutard, nous permettre l’exploration jusqu’à l’accomplissement des 12 travaux d’Héraklès.
La langue des oiseaux, comme la Langue Mère, Pinax de toutes les langues, s’articule — dans la géniale découverte de Louis Boutard — autour d’une réalité merveilleuse et inouïe, l’Æther. Ce dernier n’est pas l’éther des physiciens, celui de James Clerk Maxwell, qu’Albert Einstein a sauvagement simplifié dans son approche « métaphysique » de la relativité restreinte puis générale. Pas plus que l’éther des chimistes, notamment l’éther diéthylique, dont l’invention est attribuée à Raymond Lulle, synthétisé pour la première fois en 1540 par Valerius Cordus, et nommé par ce dernier « huile douce de vitriol », éther sulfurique, dont les propriétés analgésiques furent mises en évidence par Theophrastus Bombastus von Hohenheim, dit Paracelse.
L’éther ou akasha est le premier des cinq grands éléments, précisé dans le Rig-Véda et préside à l’origine de l’Univers. Louis Boutard, par la Gnôse Dorienne, le Sanskrit dérivant de ce fameux grec, comme un autre dialecte, détaille sa composition et la réalité de sa manifestation. L’étude de sa structure est un point incontournable pour découvrir l’Antique Science.
Les appareils rituéliques, dont la fameuse autogénératrice, dite Sphinx, la Pile Cinq-Mars, et de nombreuses autres découvertes démonstratrices d’une portée immense méritent d’être abordées dans leurs grands principes. Et un soin particulier est apporté à la relation entre les composants et les spécificités de l’Æther qui permettent sa décomposition, et nous apprennent à mieux vivre notre propre véhicule.
L’Æther, sexué de ses dieux et déesses, fécond et polymorphe, génère d’authentiques héros, et, sans doute, aucun aussi salvateur et important de cet aujourd’hui, plein de menaces pondérables et impondérables, qu’Héraklès, ce macrozoaire, en forme de massue, toujours avide de se nourrir de plus petit que lui… L’examen des conditions de sa naissance et de l’étendue de ses possibilités permet d’assurer la matérialité de cet enseignement, dans un de ses aspects.
Bien sûr, il serait utile de considérer le Pain de Vie, ce Dy, levé par l’Æther, fariné par lui, amulia, sans meule, et non pas sans ferment… Concluons qu’au terme de cette première exposition, avec les Anciens, et en chœur avec Louis Boutard, qui connaissait toute la physique moderne jusqu’à Erwin Rudolf Josef Alexander Schrödinger, au caractère profane de cette civilisation finissante.
Suivez-nous sur www.sacre.tv où vous trouverez bientôt des articles, des ressources et des vidéos
sur tous les sujets que nous affectionnons !
Commandez vos ouvrages dès à présent
L’assistance à une au moins des deux conférences est nécessaire pour participer à l’atelier du dimanche 9 octobre.
Conférence « L'ÆTHER & LOUIS BOUTARD »
Avec Cédric et Marie-Ange MANNU
Media Éternité Sacré
Vendredi 7 octobre 2022, 19h30 à 21h30
Lieu : Salle de la Librairie Cadence
2 rue des Antonins
69005 LYON
Participation : 10€
Réservation recommandée auprès de la Librairie CADENCE
62 rue Saint Jean
69005 LYON
(04) 78 42 48 21
librairie.cadence@gmail.com
Le Corbeau de Lug, ce corvinus au pied marin, disons-le net, notre Cormoran breton, se déploie avec ses compagnons, aigrettes, héron et ibis dans le Delta du Nil. Ce fameux héron, phénix de ces cieux, est le premier emblème alchimique de la pierre philosophale dans le monde berbère. Harpocratiquement hiérophante, lui aussi est de souche grecque, naturalisé égyptien. Tel la Sphinx, il pose la même énigme de l’Origine à l’Homme. En duel ? En miroir, assurément, comme un geste au poil. Le divin Mercure, notre Hermès grec et égyptien, est bien ce fin camion d’Æther, dont nous sommes si pleinement revêtus. Et Fulcanelli ne manque pas de nous indiquer la beauté spécifique des femmes épilées de près, au miel, et aux yeux de Kohl… Comme un autre hommage au chat, dont le mystère demeure et que seule une compréhension attentive de cet Æther mystérieux peut, avec Louis Boutard, nous permettre l’exploration jusqu’à l’accomplissement des 12 travaux d’Héraklès.
La langue des oiseaux, comme la Langue Mère, Pinax de toutes les langues, s’articule — dans la géniale découverte de Louis Boutard — autour d’une réalité merveilleuse et inouïe, l’Æther. Ce dernier n’est pas l’éther des physiciens, celui de James Clerk Maxwell, qu’Albert Einstein a sauvagement simplifié dans son approche « métaphysique » de la relativité restreinte puis générale. Pas plus que l’éther des chimistes, notamment l’éther diéthylique, dont l’invention est attribuée à Raymond Lulle, synthétisé pour la première fois en 1540 par Valerius Cordus, et nommé par ce dernier « huile douce de vitriol », éther sulfurique, dont les propriétés analgésiques furent mises en évidence par Theophrastus Bombastus von Hohenheim, dit Paracelse.
L’éther ou akasha est le premier des cinq grands éléments, précisé dans le Rig-Véda et préside à l’origine de l’Univers. Louis Boutard, par la Gnôse Dorienne, le Sanskrit dérivant de ce fameux grec, comme un autre dialecte, détaille sa composition et la réalité de sa manifestation. L’étude de sa structure est un point incontournable pour découvrir l’Antique Science.
Les appareils rituéliques, dont la fameuse autogénératrice, dite Sphinx, la Pile Cinq-Mars, et de nombreuses autres découvertes démonstratrices d’une portée immense méritent d’être abordées dans leurs grands principes. Et un soin particulier est apporté à la relation entre les composants et les spécificités de l’Æther qui permettent sa décomposition, et nous apprennent à mieux vivre notre propre véhicule.
L’Æther, sexué de ses dieux et déesses, fécond et polymorphe, génère d’authentiques héros, et, sans doute, aucun aussi salvateur et important de cet aujourd’hui, plein de menaces pondérables et impondérables, qu’Héraklès, ce macrozoaire, en forme de massue, toujours avide de se nourrir de plus petit que lui… L’examen des conditions de sa naissance et de l’étendue de ses possibilités permet d’assurer la matérialité de cet enseignement, dans un de ses aspects.
Bien sûr, il serait utile de considérer le Pain de Vie, ce Dy, levé par l’Æther, fariné par lui, amulia, sans meule, et non pas sans ferment… Concluons qu’au terme de cette première exposition, avec les Anciens, et en chœur avec Louis Boutard, qui connaissait toute la physique moderne jusqu’à Erwin Rudolf Josef Alexander Schrödinger, au caractère profane de cette civilisation finissante.
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