Première journée

Le matin de la première journée sera consacré à l’établissement du fait suivant.

L’émergence civilisatrice est liée à l’émergence de l’eau.
Le maintien civilisateur s’appuie sur le maintien de la présence de l’eau.
La gestion civilisatrice pérenne implique la gestion pérenne de cette présence.
Une gestion inadaptée de l’eau apporte la disparition de la civilisation responsable.

Cette démonstration se fera par le biais d’une évocation archéologique, artistique, géographique et à travers des exemplaires commentés.

L’après-midi de la première journée détaillera les sources de l’eau dans leur situation géographique dans le monde et en France.
Un exemple sera pris en illustration particulière, les sources du Bois de Montroucous (et non uniquement les sources embouteillées par la société éponyme), c’est-à-dire les sources de Lacaune, et plus généralement de la Montagne Noire.

Dans d’autres itérations du cycle, une source fera l’objet d’une étude particulière pratique.

Deuxième journée

Le matin de la deuxième journée, les sources seront examinées selon une classification de toutes les modalités de résurgence. L’accent sera mis sur les distinctions que l’on peut faire entre les phénomènes décrits. Ce sera l’occasion de mettre en pratique une logique de comparaison ternaire.

L’après-midi de la deuxième journée, Viktor SCHAUBERGER sera à l’honneur avec son apport incontournable sur la compréhension des sources. Nous commencerons l’examen des caractéristiques de l’eau et nous dresserons sommairement ses anomalies (plus de 41).
Nous détaillerons au moins deux d’entre elles qui concernent sa température et sa densité, de sorte que son expansion et sa compression demeurent exclusives, singulières, sur la planète Terre, et permettent à l’eau de jouer avec sa forme, comme aucun autre élément.
Ce point étant fondamental, nous y consacrerons l’après-midi entier. Et les autres anomalies seront explorées dans des moments et itérations ultérieures du cycle.

Cycle de deux conférences et d’un atelier sur l’œuvre de Louis Boutard.
L’assistance à une au moins des deux conférences est nécessaire pour participer à l’atelier du dimanche 9 octobre.

Atelier « ASPECTS INSOUPÇONNÉS DE L'ARCHITECTURE SACRÉE »
Avec Cédric et Marie-Ange MANNU
Media Éternité Sacré
Dimanche 9 octobre 2022, 10h00 à 18h00

Lieu : Salle de la Librairie Cadence
2 rue des Antonins
69005 LYON
Participation : 80€
Réservation obligatoire auprès de la Librairie CADENCE

62 rue Saint Jean
69005 LYON
(04) 78 42 48 21
librairie.cadence@gmail.com


De l’ombilic de Delphes, nos 12 Sages en peuples émissaires bouclent le tour du globe, déployant l’Antique Connaissance auprès de toutes les tribus, en adaptant l’enseignement à leurs spécificités morphologiques. Dans un second temps, Grecs et Celtes se tendent la main à de multiples reprises, directement ou par le truchement de peuples associés. Ainsi la France, fille de l’Égypte, peuple d’abeilles, trouve aussi sa source au Delta du Nil.

Claude-Sosthène Grasset d’Orcet n’avait pas manqué de remarquer la spécificité grecque de la France. Louis Boutard précise la nature des phonèmes, que nous pouvons prononcer et qui nous différencient, bien au-delà de l’épigénétique. L’Architecture Sacrée, c’est déjà une boucle d’oreille, un graffiti laissé sur une pierre, le blason d’un écu, les ornements d’un meuble, les frises d’un chapiteau, la mosaïque d’une église, le plan d’une cathédrale, l’armature d’un pays, en somme toute l’architectonique de la création… Et c’est toujours l’Æther Sacré !


Place à l’interactivité, dans cette découverte d’une réalité autre, inexplorée où l’Æther et Louis Boutard occupent le premier rôle.


Dans tous les pays, sur tous les continents, à toutes les époques, avant l’histoire, avant l’antiquité profane, et dans les rémanences et souvenirs multiples ultérieurs, l’occasion nous est donnée d’exercer notre sagacité et de lever les énigmes à l’aide des repères, que nous avons appris ensemble, lors des conférences associées.


Comme un autre Chambord, une fontaine Wallace aux allusions insoupçonnées, un Printemps de Botticelli, qui tournerait son regard vers la fête d’Opet, un précieux vitrail, qui orne nos fenêtres et émaille l’œuvre de Bernard Tirtiaux Le passeur de Lumière — Nivard de Chassepierre, maître verrier… Nos œuvres iconiques s’orientent elles aussi en symphonies de couleurs vers cette architectonique sacrée, vers ce corps sublime de Dieu, vers cette anguillule, source de toute vie.


Fulcanelli n’est pas en reste dans cette découverte si improbable. La Tour Eiffel, toute rouge sur son Champ de Mars, nous fait de l’œil, ainsi qu’au peintre Robert Delaunay. Salvador Dali, en ces frasques et mystifications, cache difficilement le génie de son inspiration, et de l’armature profonde de son art d’immortalité, une fois la Clef des Songes employée.


L’art pictural, le Body Art, le Land Art, tout est bon pour qui charpente la vigne, comme le Christ, notre or, nous fait poètes. Déployons une nouvelle et universelle grammaire des styles. Nous voyons ainsi se manifester de toute éternité, dans le principe, dans l’Arche, qu’elle soit d’Alliance, ou si directement dépeinte par Louis Boutard, en confluence d’Æther, le maître charpentier avec ses ouvriers en son ἀρχιτέκτων.


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